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Medioevo italiano. I film degli anni '60


LE DOLCEZZE DEL PECCATO

(Der Turm der verbotenen Liebe)

1968, regia di Franz Antel (come Francois Legrand)

 

Scheda: NazioneGermania-Francia-Italia - Produzione: Filmes Cinematografica, Films EGE, Rapid Film - Distribuzione: Titanus, Maron Films, Sinister Cinema - Soggetto: dal romanzo di Alexandre Dumas padre - Sceneggiatura: Valeria Bonamano, Kurt Nachmann, Alfredo Tucci, Fritz Umgelter - Fotografia: Oberdan Troiani - Montaggio: Pierre Calais, Herbert Taschner - Scenografia: Peter Rothe - Costumi: Charlotte Flemming - Musiche: Mario Migliardi - Formato: Panoramica Eastmancolor - Durata: 89'.

Cast: Jean Piat, Teri Tordai, Marie-Ange Aniès, Uschi Glas, Frank Olivier, Karlheinz Fiege, Armando Francioli, Jacques Herlin, Rudolf Forster, Véronique Vendell, Dada Gallotti.

   

 

 

 

 

Trama e commenti: cinematografo.it - mymovies.it: «...il film narra di Buridan che, accusato di aver ucciso il padre della regina Margherita, indaga a Parigi sul vero assassino che si rivela essere Saint Lorraine, ministro della sovrana. Il protagonista è catturato ma subito liberato da Margherita che scopre in lui il suo ex amante Lionel. La regina, fuggito Buridan, ucciso il ministro, dà fuoco al castello e, ormai completamente pazza, muore nell'incendio».

Plot Summary, Synopsis, Review: IMDb - premiere.fr - moviepilot.de - scifilm.org - entertainment.msn.com - cathuria.com - allmovie.com: «This erotic horror film is set in a dark medieval castle where the lusty Queen of France deflowers virgins, drains the life from them, hacks them up and tosses them in a huge tower» (Sandra Brennan).

hervedumont.ch: «Cette nouvelle mouture du mélo d’Alexandre Dumas et Frédéric Gaillardet est produite par Wolf C. Hartwig, un des papes allemands du film porno (la série des Schulmädchen-Report) qui s’essaie à présent dans le film historique dénudé (Lady Hamilton avec Michèle Mercier, 1968). La réalisation – sous le pseudonyme de François Legrand – est de Franz Antel, un vieux routier de la guimauve viennoise, également recyclé dans l’érotisme ras-les-paquerettes. C’est dire ce qu’on peut en attendre. Le téléaste allemand Fritz Umgelter, co-scénariste, met également la main à la pâte. ,,, Le tout est mitonné en Eastmancolor sur les terrains des studios Mafilm à Budapest et Fót, aux châteaux de Schlossberg et Vajdahunyad et sur les rives du Danube. L’intrigue se démarque légèrement de Dumas. Ainsi, l’âme damnée de la reine, Orsini, est aux ordres d’un certain duc de Saint-Lorrain, conseiller du roi (rôle qui correspond à celui d’Enguerrand de Marigny dans la pièce), jadis l’assassin du père de Marguerite. À la fin, poursuivie par les soldats du roi, la reine traquée escalade la dernière plate-forme de la tour où elle poignarde Saint-Lorrain qui l’a rejointe. La tour prend feu et sur les quais, les Parisiens voient brûler la "sorcière de Nesle". Buridan contemple le spectacle, serrant dans ses bras Blanche du Bois, une dame de compagnie à la cour et son amie d’enfance. Ce salmigondis visuellement assez laid est réalisé sans goût ni style, dans des costumes Renaissance, avec des rapières du XVIIe siècle et un Louis X le Hutin moustachu et homosexuel».

       

Conosciuto anche con i titoli: La Tour de Nesle; Tower of Screaming Virgins.

 

      

        


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